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Recherche par auteur : Schwob, Marcel

3 résultats.

Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 31090
Résumé:Ce chef d'œuvre de la littérature française mérite vraiment un détour. A la fois conte philosophique, recueil d'aphorismes, hymne nostalgique et douloureux à une morte, ce texte constitue aussi une confrontation entre l'enfer et le paradis, le monde de l'enfance et celui des adultes, une aventure du réel puisée dans l'imaginaire. Inclassable par sa forme et son style, ce livre singulier - qui inspira notamment Les nourritures terrestres de Gide - ravira les curieux, à la recherche de vérités peu ordinaires, en constant mouvement !
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 20290
Résumé:Les lettres que Marcel Schwob adresse à sa femme, Marguerite Moreno, transcrivent un pélerinage paradoxal d'où Stevenson — son souvenir — semble absent. Demeure le témoignage poignant d'une croisière insensée ; Schwob souffre d'une pneumonie qui lui laisse peu de répit, mais il s'indigne du racisme de ses compatriotes et s'émerveille à la vue des îles innombrables qui, de la Corse à Ceylan et Viti Levu émaillent le voyage jusqu'à Samoa.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 31109
Résumé:«Le biographe n'a pas à se préoccuper d'être vrai ; il doit créer dans un chaos de traits humains. Leibniz dit que pour faire le monde, Dieu a choisi le meilleur parmi les possibles. Le biographe, comme une divinité inférieure, sait choisir parmi les possibles humains, celui qui est unique. Il ne doit pas plus se tromper sur l'art que Dieu ne s'est trompé sur la bonté. Il est nécessaire que leur instinct à tous deux soit infaillible. De patients démiurges ont assemblé pour le biographe des idées, des mouvements de physionomie, des événements. Leur ouvre se trouve dans les chroniques, les mémoires, les correspondances et les scolies. Au milieu de cette grossière réunion le biographe trie de quoi composer une forme qui ne ressemble à aucune autre. Il n'est pas utile qu'elle soit pareille à celle qui fut créée jadis par un dieu supérieur, pourvu qu'elle soit unique, comme toute autre création.»